Finduilas, je fus !

Je ne sais vraiment qui je suis, de mon passé, seul subsiste ce nom "Finduilas", un nom qui fut le mien et le souvenir, les sensations en mon corps de cette mort atroce, une lance plantée en mon être. Mais cela reste le seul souvenir qu'il me reste, j'espère avec le temps parvenir à reconstituer mon passé et savoir qui je suis et qui je fus. Surtout aussi pour savoir pourquoi je suis revenue à la vie. Je tournais en rond sans trouver de solution. Peut être ce tatouage que je porte pourrait m'aider !


Si je suis morte, comment cela se fait que je sois encore de ce monde. Suis-je revenu d'entre les morts, ma mort n'aurait-elle été qu'illusion ou mon âme aurait-elle pris possession de ce corps pour pouvoir continuer à exister. Si au moins je savais à quoi je ressemblais avant, j'aurai le moyen de savoir sur ma mort. Il me faut savoir, après tout, je peux toujours partir faire un tour en dehors des murs de la citadelle et me renseigner de droite à gauche, peut être que quelqu'un pourra me diriger vers une personne qui me guidera. Je ramassais mon épée et me décidais à emporter quelques provisions, le stricte nécessaire et une gourde, les cours d'eau se font des fois rares dans certains coins. Tourt le monde semblait très occupé et je ne voulais point les déranger, après tout je suis une grande fille, je me suis débrouiller toute seul depuis le plus loin que je me le rapelle. Une fois franchit, la grande porte, je me retournais pour voir ce que je laissais, sans savoir quand je reverrai mes compagnons.

La journée avait débuté. Mais personne ne semblait en mesure de me répondre ou plutôt ne souhaitait que je m'adresse à lui. Dès que je m'approchais de quelqu'un on aurait dit que j'étais une pestiférée, ils faisaient demi-tour en me voyant voulant les accoster ou alors pressaient le pas. ça commençait bien comment pourrais-je trouver une réponse si personne ne voulais m'écouter. Je continuais sur le sentier un peu désespérée, une vieille femme arrivait en contre-sens. Elle était toute recourbée et s'appuyait sur un bout de bois qui lui permettait tant bien que mal de se mouvoir. Elle se retrouvait face à moi, je fis un écart pour pouvoir continuer mon chemin. Quand elle m'attrapa par le bras, celui où je portais mon tatouage, mais elle ne put le voir, j'y avais attaché un foulard. Elle avait une force impressionnante pour une femme de son age.

- Que recherches-tu jeune fille ?

- En quoi cela peut-il vous intéresser !

- Si je te pose la question, c'est que cela m'intéresse et je crois que tu n'a pas le choix de l'interlocuteur !

- Oui, c'est vrai, les gens me fuient sans même avoir entendus le son de ma voix !

- Dis moi tout mon enfant.

- Je cherche quelqu'un qui pourra me parler d'une femme prénommée "Finduilas" et aussi...

Je m'appretais à enlever le foulard de mon bras quand elle me reteint de le faire.

- Il n'est pas la peine que tu le retire, je sais ce que tu caches et il ne serait pas bon que certains yeux tombent dessus.

- Mais pourquoi !

- Tu le sauras bien assez tôt, ne crains rien. Tu recherches donc Finduilas... Très intéressant.

- Je ne la recherche pas, enfait je pense qu'elle est morte, je veux simplement découvrir qui elle est.

- Donc c'est bien ce que je dis, tu la cherches. On ne peux découvrir qui est une personne sans lachercher.

- Si vous le dites, mais vous savez quelque chose... Eux vous savez où je pourrais la trouver ?

- Non je ne le peux pas, je suis désolé !

- Je ne comprend pas, vous sembliez connaitre des choses e au bout du compte, vous ne m'êtes d'aucune utilité.

- Tu m'a demandé si je savais ou la trouver, je t'ai répondu que non et c'est la vérité, je ne le sais pas. Tu ne poses pas les bonnes questions.

- Quelles questions ?

- Peut ête je connais quelqu'un qui sait quelque chose.

- Vous connaissez quelqu'un !

- En effet. Mais pour pouvoir le rencontrer, ce n'est point facile, il faut passer par des endroits peu recommandables.

- Je n'ai pas peur !

- C'est bien de ne pas avoir peur, mais j'aurai préféré que tu l'ais, les gens sans peur agissent des fois sans réfléchir.

- Je ne suis pas bête non plus !

- Je n'ai pas dit cela. Bon puisque tu ne sembles pas vouloir rennoncer, je vais te dire ce que tu dois savoir. Il y a dans une clairière, une petite batisse où vit un vieux fou. Il vaut mieu en général éviter de le déranger pour des broutilles, mais je pense que ce dont tu es en quête est très important du moins pour toi.

- C'est cela que vous trouvez dur, parler à un vieil homme et bien, nous n'avons pas les mêmes notions de danger.

- Mais laisses moi dont finir, ce n'est point là que tu es en danger. Il ne s'est point reclu à cette endroit par hasard, cet endroit se trouve en plein milieu de la forêt de Richter.

- Je ne connais pas.

- Et bien je peux te dire que quand tu la connaitra, tu ne l'oubliera jamais.

La vieille femme releva sa un bout de sa robe et là se découvrit une jambe de bois.

- Mon dieu !

- Et oui, mais lui n'y est pour rien, où crois tu que je l'y ai laisser.

- Qu'est ce donc qui vous a...

- Un loup-garou, je ne dois ma survie qu'a un solide bucheron qui lui assemé un violent coup de hahe sur sa salle caboche. Je n'avais point voulu m'aventurer dans cette forêt, mais le lieu que je devais rejoindre était bien long et un sentier passant au bord de cette maudite forêt me permettait de gagner du temps. Plus jamais je n'y suis repassé.

- Ma pauvre.

- Ce n'est rien, cela m'apprendra. Mais toi, tu dois t'y enfoncer jusqu'en son coeur et en revenir, c'est pourquoi je dois te prévenir. Il n'y a pas que ce genre de créature, certains parlent d'être vivant sans âme, d'autres mi-mort, mi-vivant et de bien d'autres choses dont on ne connais pas encore l'existance.

- Je vous remercie pour tout ça et je vous promet que je serai très prudante, je crois que la vision de votre jambe me laissera sur mes garde tout au long de mon périple.

- Très bien, bon courage à toi. Continues ta route pendant encore trois à quatre lieux, puis sur ta gauche se présentera à toi un sentier abandonné, tu ne peux le raté, car il est encadré par deux grands frênes morts depuis on ne sait quand.

- Merci encore. Je vous promet que si j'en reviens, je vous ferais part de ce que j'aurais appris.

- Très bonne idée, allez-vas !

Je partais donc sans me retourner, enfin j'avançais, les nouvelles n'étaient pas des plus réjouissantes. En marchant je regardais mes jambes. Etais-je assez motivé pour risquer ma vie pour peut être ne rien apprendre. Ce déplacement valait-il la peine que je risque ma vie. Peut être, mais je ne pouvas en être sûr sans franchir le pas.

Je parcourais donc le chemin qui me séparait de ce sentier malveillant. En arivant je ne pus le manquer, avec ces deux arbres morts donc j'avais déjà oublié le nom. Je regardais autour de moi, personne. Je me lançais donc au péril de ma vie, la main sur la garde de mon épée. La distance en tre moi et les arbres augmentait à vu d'oeil. Il était, par moment, juste pour passer, lanature avait repris ses droits, enfin si l'on pouvait parler de nature, certains arbres semblaient être mort, mort de souffrance, is étaient horriblement tordus. Je n'avais point enmené mon cheval et s'était tant mieu, ce n'était point un endroit pour lui et l'avancé aurait été difficile.

Brusquement, un bruit, un bruit de feuilles que l'on froisse se fit entendre derrière moi, mon sang se glaça. Je me retournais, je ne voyais rien. La lumière avait beaucoup de mal à percer à travers le couvert végétal, mais je voyais assez bien. Mais là rien, rien ne se laissait voir. Je me décidais à continuer ma route.

Soudain ce fut une brindille au sol qui se brisa, je me tournais de côté, quelquchose se mouvait, s'avançait vers moi. C'est lorsque qu'il fut assez près que je vis ce qui en voulait à ma vie...

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#1 'Mort vivant, A1 V2' :

#1 Résultat : 1

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#2 'Combat' :

Prise par surprise, mon premier coup fut vint, frapper alors que je dégainais, ne fit que trancher l'air. D'un bon je m'écartais de la créature et lui fonça dessus arme au poing.En passant derrière elle je lui portais un coup sur son côté et me retournais pour lui donner le coup de grâce, mais une nouvelle fois mon épée ne renconta que l'air. En fait, sous la monté d'adrenaline, je ne m'étais pas rendu compte de la puissance de mon coup. Mon unique coup porté lui fut fatal. cette chose semblant humaine gisait là au sol, inerte. Je me félicitais d'en être sorti indemne.

Mais soudain face à moi un autre de ces trucs me faisait face.

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#1 'Mort vivant, A1 V2' :

#1 Résultat : 1

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#2 'Combat' :

Sans aucune hésitation, je chargeais d'un coup, je lui enfonçais mon arme dans le corps. Je la retirai, sans attendre qu'il s'écroule sur le sol, mort, je le décapitais. Sa tête gisais à deux pas seulement du corps sans vie, d'un léger coup de l'ame, j'harponnais la tête et lui fit face. Ce truc était horrible, il lui manquait un oeil et l'autre semblait tenir à rien.

-Alors on fait moins le malin !

Je pris la tête dans ma main et l'envoya s'éclater contre un tronc d'arbre.